Voici M. le chêne, celui ci je ne vous l'ai pas encore présenté alors que je le possède depuis 4 ans.
Mon voisin m'avait donné il y a 4 ans un gland qui avait germé dans son jardin. N'y connaissant rien en bonsaï j'ai placé ce gland dans un pot large mais peu profond. Sans le savoir j'avais utilisé le bon pot pour éviter que ce chêne ne puisse développer sa longue racine pivot. Le chêne développe cette racine pour pouvoir bien s'arrimer en terre mais lorsque l'on veut le cultiver en bonsaï il faut éviter autant que possible que celle ci plonge car il est ensuite impossible de la couper radicalement sous peine de voir le chêne dépérir. Il faut s'y prendre sur plusieurs années et couper au maximum 1/3 de cette racine. J'avais donc utilisé la bonne méthode sans le savoir sauf que ce chêne a végété 2 ans dans de la terre de jardin et s'est développé faiblement faute de suffisamment d'engrais. L'année dernière, en sachant plus sur le bonsaï, je l'ai rempoté dans un mélange drainant et il a pousssé incroyablement en un an. Seul ombre au tableau : de grandes feuilles qui m'ont l'air difficiles à réduire.
Cetet année j'ai décidé d'adopter le meême prinicpe que sur les marronniers, c'est à dire l'ébourgonnment des bourgeons apicaux afin de favoriser l'émergence des bougeons latents. J'espère ainsi densifier la ramure de l'arbre et réduire les feuilles. Pour l'instant je n'ai pas assez de recul, on verra bien.
Bougeons apicaux retirés. J'ai exercé une rotation avec le pouceet l'index pour les enlever.
Mon voisin m'avait donné il y a 4 ans un gland qui avait germé dans son jardin. N'y connaissant rien en bonsaï j'ai placé ce gland dans un pot large mais peu profond. Sans le savoir j'avais utilisé le bon pot pour éviter que ce chêne ne puisse développer sa longue racine pivot. Le chêne développe cette racine pour pouvoir bien s'arrimer en terre mais lorsque l'on veut le cultiver en bonsaï il faut éviter autant que possible que celle ci plonge car il est ensuite impossible de la couper radicalement sous peine de voir le chêne dépérir. Il faut s'y prendre sur plusieurs années et couper au maximum 1/3 de cette racine. J'avais donc utilisé la bonne méthode sans le savoir sauf que ce chêne a végété 2 ans dans de la terre de jardin et s'est développé faiblement faute de suffisamment d'engrais. L'année dernière, en sachant plus sur le bonsaï, je l'ai rempoté dans un mélange drainant et il a pousssé incroyablement en un an. Seul ombre au tableau : de grandes feuilles qui m'ont l'air difficiles à réduire.
Cetet année j'ai décidé d'adopter le meême prinicpe que sur les marronniers, c'est à dire l'ébourgonnment des bourgeons apicaux afin de favoriser l'émergence des bougeons latents. J'espère ainsi densifier la ramure de l'arbre et réduire les feuilles. Pour l'instant je n'ai pas assez de recul, on verra bien.
Bougeons apicaux retirés. J'ai exercé une rotation avec le pouceet l'index pour les enlever.
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